Au lendemain d'une grosse fuite de 251.287 documents diplomatiques ultra-sensibles via le site WikiLeaks, son fondateur se retrouve en ligne de mire : il est désormais recherché par Interpol. Il ne s'agit pas d'un mandat d'arrêt international, mais l'homme fait désormais parti de la "wanted list" de l'organisation.
Les faits qui lui sont reproches n'ont rien à voir avec la divulgation des papiers secrets : il est accusé d'avoir violé deux femmes suédoises en août 2010.